Début mars, l’importateur Benelux De Lille de Lendelede a présenté un nouveau télescopique électrique de Merlo. Depuis plus de 10 ans, Merlo fait figure de pionnier dans le domaine des chariots télescopiques électriques. En 2013, le premier télescopique hybride a été présenté en tant que prototype. La première machine entièrement électrique a suivi en 2021. […]
Début mars, l’importateur Benelux De Lille de Lendelede a présenté un nouveau télescopique électrique de Merlo.
Depuis plus de 10 ans, Merlo fait figure de pionnier dans le domaine des chariots télescopiques électriques. En 2013, le premier télescopique hybride a été présenté en tant que prototype. La première machine entièrement électrique a suivi en 2021.
Ce printemps, le premier télescopique de moyenne capacité 100 % électrique a vu le jour. Le fabricant revendique une autonomie de 8 heures de travail dans le cadre d’une utilisation « normale » de la machine. En fonction de l’utilisation, cette autonomie peut être augmentée, par exemple lors de l’utilisation de la cage de travail.
Le E-worker avec cage de travail, tel que la machine nous a été présentée, existe en version 2 roues motrices (25.5-60) ou 4 roues motrices (25.5-90). Toutes deux peuvent soulever 2,5 tonnes et ont une hauteur de travail maximale de 5 mètres. La cage de travail, y compris la conduite et la direction de la machine elle-même, peut être commandée électroniquement depuis la plate-forme de travail.
Ce télescopique électrique existe en deux et quatre roues motrices.
Les modèles 2RM sont équipés de deux moteurs électriques montés directement sur les réducteurs des roues avant. Cela permet d’assurer la traction à l’avant et de réduire la puissance nécessaire pour effectuer les mouvements. Transformé, ce télescopique a une puissance maximale de 60 ch et atteint une vitesse maximale de 25 km/h. La capacité de traction est ici de 2000 kg.
En plus des deux moteurs à l’avant, les modèles 4RM disposent d’un moteur supplémentaire pour la traction arrière. Cela permet de transmettre la puissance motrice au sol par l’intermédiaire de toutes les roues, ce qui confère à la machine une bonne traction dans toutes les conditions, même en tout-terrain. La puissance maximale est ici convertie en 90 ch et la vitesse maximale est également de 25 km/h. L’essieu arrière peut osciller jusqu’à 7 degrés et la capacité de traction maximale atteint 3 000 kg.
L’eWorker est dirigé uniquement par ses roues arrière, comme c’est le cas pour les chariots élévateurs. L’angle de braquage des roues arrière atteint jusqu’à 85°, ce qui rend les dimensions maximales pendant le braquage très basses : 2850 mm pour les modèles 2RM et 3250 pour les modèles 4RM. L’eWorker est plus maniable, sa vitesse de manœuvre et de transfert est plus élevée et son rayon de braquage est le meilleur de sa catégorie.
Trois types de transmission sont disponibles :
La machine est équipée d’une pompe hydraulique à cylindres variables (Load Sensing) alimentée par un moteur électrique et contrôlée par un joystick électronique capacitif qui permet à l’opérateur d’effectuer sans effort trois mouvements simultanés. La pression maximale de travail est de 210 bars pour un débit de 42 l/min. Enfin, il dispose d’un raccord hydraulique arrière (en option) et d’un raccord en bout de flèche (de série).
La cabine est construite de manière à ce que l’opérateur y soit très à l’aise et qu’il puisse y entrer et en sortir facilement. Le confort acoustique et thermique a également été pris en compte : des matériaux innovants et de nouvelles solutions techniques ont été utilisés pour construire la cabine. Le côté gauche de la cabine et le toit en verre peuvent être retirés pour permettre une bonne ventilation pendant les mois d’été. Le grand pare-brise, les vitres latérales et le rétroviseur intérieur assurent une visibilité parfaite. La fenêtre peut être ouverte à 180° et peut être verrouillée lorsqu’elle est complètement ouverte. Cela permet au conducteur d’entrer et de sortir plus rapidement.
Les commandes ergonomiques, le volant inclinable, l’accoudoir réglable et l’interface utilisateur simple facilitent le travail et réduisent la fatigue du conducteur. Le joystick capacitif détecte la présence du conducteur grâce à un capteur ; il n’y a pas besoin de bouton d’homme mort. Le joystick permet au conducteur de
L’eWorker étant 100 % électrique, le conducteur ressent remarquablement moins de bruit et de vibrations qu’avec une machine à moteur thermique. Par conséquent, le poste de conduite est optimal pour l’opérateur, s’use moins vite et réduit le risque d’accidents du travail.
La suspension hydropneumatique active BSS sur la flèche est disponible en option. Ce système protège la charge pendant les mouvements et assure un grand confort de conduite sur les terrains accidentés. La suspension se désengage automatiquement à faible vitesse (moins de 3 km/h).
Photo : e Worker